Circo Equestre Sgueglia © Salvatore Pastore

Circo Equestre Sgueglia

de Raffaele Viviani
Mise en scène : Alfredo Arias

 

FESTIVAL DE NAPLES – 2013
ATHENEE THEATRE LOUIS-JOUVET – PARIS / TOURNEE EN FRANCE
Mars 2015

Avec : Massimiliano Gallo, Monica Nappo,Tonino Taiuti, Carmine Borrino, Lorena Cacciatore, Gennaro Di Biase, Giovanna Giuliani, Lino Musella, Marco Palumbo, Autilia Ranieri
et la participation de Mauro Gioia
Musiciens : Giuseppe Burgarella, Gianni Minale, Alberto Toccaceli, Marco Vidino
Direction musicale et arrangements : Pasquale Catalano
Décor : Sergio Tramonti
Costumes : Maurizio Millenotti
Lumières : Pasquale Mari
Chorégraphie : Luigi Neri
Maquillages : Kriss Barone
Assistant décor : Luigi Ferrigno
Production : Teatro Stabile di Napoli, Fondazione Campania dei Festival/Napoli Teatro Festival Italia, Teatro di Roma

En juin 2013, Le Festival de Naples accueillait le metteur en scène argentin Alfredo Arias pour la création de Circo Equestre Sgueglia, l’un des textes les plus connus de l’auteur napolitain Raffaele Viviani.

Le style d’Alfredo Arias, sa passion pour la comédie musicale, le music hall et la revue, son double intérêt pour le répertoire et le théâtre contemporain, son expérience du monde musical et son goût du travestissement, du jeu masqué et du burlesque se prêtent brillamment à l’univers de l’auteur napolitain.

Dans l’ambiance foraine et festive du cirque, l’action se déroule au fil des hauts et des bas de la famille Sgueglia, propriétaire du cirque homonyme, métaphore universelle d’un monde précaire et pauvre.

A Naples, Alfredo Arias, venu auditionner l’équipe d’acteurs/musiciens du spectacle, disait : « A chaque fois que je viens en Italie, je ressens le besoin de m’approprier la culture de ce pays… La poésie désespérée des rues de Naples me touche beaucoup, un mélange de lyrisme et de grande angoisse, celle qu’on retrouve dans le texte de Viviani. Naples ne peut laisser indifférent, c’est une sorte d’expérience absolue ; si les paroles de Viviani sont aujourd’hui encore si vivantes, c’est parce qu’elles sont filles authentiques de ces lieux.»